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Quartier Oyack : Il réapparaît alors qu’on le croyait mort

Publié le par Cyril Marcel

Un jeune homme de retour chez sa mère assiste à ses propres obsèques. La scène se déroule au quartier Oyack au lieu-ditPremièreSource. En voici quelques extraits de la vidéo amateur prise en caméra cachée.

Il est un peu plus de 09h ce mercredi 06 janvier 2016. C’est le calme matinal et les gens vaquent à leurs occupations quotidiennes. Jusqu’au moment où le jeune Botto (21 ans environ et apparemment moto-taximan) descend de sa moto, tout souriant et fait un signe à ses amis en train de travailler là dans un chantier, comme quoi il est de retour. Pourtant la réaction de ces derniers va ressembler à une mauvaise blague lorsqu’ils s’écrient : « Mais on a dit que tu es mort non !? » Amusé, le concerné se dit qu’on le taquine un peu, puisque ça fait quand même 2 à 3 jours qu’on ne l’a pas aperçu au quartier. Mais que non ! Il ne s’agit pas d’un canular. On le croyait effectivement mort : « Il y a deuil chez eux », lance une habitante du quartier. Le concerné s’enapercevra au fur et en mesure que la foule se formera autour de lui. C’est tout le voisinage qui accourt pour venir voir et même toucher « le revenant » s’il est vraiment en chair et en os. Des réactions de tous acabits fusent de partout, surtout lorsqu’on connait les habitudes de nos mamans du quartier face aux petites histoires sensationnelles de ce genre. Cris funèbres, rires aux éclats et autres commentaires ont été entendus ce matin-là. « Tu vivras 200 ans ôôô !!! Le gars-ci ne va pas vite mourir…, On nous a dit que tu as fait un accident et tu es mort sur le champ …» Chacun avait quelque chose à dire au « revenant ». Peu à peuBotto a commencé à prendre un air triste quand un de ses amis lui a dit : « Il y a deuil chez vous à l’heure où je te parle ci. » Le coup de grâce a été cette autre parole choquante d’une voisine lui disant :« Ta mère a tellement pleurer ici !!!»C’est à ce moment que le pauvre a fondu en larmes, ému et peiné par tout ce qu’il venait d’entendre.

Cyril Marcel ESSISSIMA

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